Dans mon intime, à l'abri des rideaux de la chambre d'hôtel, il y a un fouillis de vêtements, de livres et de produits anti-moustique pour pays tropicaux. Face à la chambre, sous le regard incliné des palmiers, la mer donne son point de vue à l'infini. Entre ces deux espaces à priori incompatibles, un patio court de la chambre une à la chambre six. C'est là que des auteurs, encombrés par le désordre des voyages, l'inconfort de l'ailleurs - il n'y a pas d'eau chaude et la douche est bouchée - dans cet entre-deux rectiligne au sol recouvert de céramique, fabriquent, ventre repu, une langue déraisonnable
lundi 12 juillet 2010
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