Le jour se lève sur ma peine
Qui cherche délibérément un pilier
Pour dribbler le vide.
Le sentiment d’être nul me gagne.
C’est pénible de tendre la main chercheuse d’aide
A l’horizon indigent
Dans un désert de fraternité humaine.
Et le jour se lève annonçant le soleil
Qui brûle tout espoir de sourire
Quand on n’a rien à donner
Au petit qui attend la colère de sa faim.Wakeu Fogaing
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