Bafoussam connaît son hiver.
ça fait trente quatre ans que je vis ici et je n'ai jamais connu pareil froid.
le froid entre profondément en moi.
jusqu'au os et la chair s'essouffle de cette violence inhabituelle.
mardi 3 août 2010
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Si tu étais Molière, tu n'aurais pas froid... le bois n'a pas froid, c'est un truc d'humain, ça.
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