vendredi 6 septembre 2013
vendredi 9 septembre 2011
Une tournée qui Commence
"Mémoire d’une peau" à l'alliance française de Garoua
Le samedi 10 septembre 2011 à 19 h.
Un lundi comme un autre… Milo Kan, l’albinos à qui la vie n’a pas fait de cadeau, rêve d’amour. Il rêve d’une grande histoire qui lui fera oublier son manque d’enfance, son trop plein de nature volage, son père discontinu, sa mère interrompue. Mais comment cesser d’être une ombre de Blanc et un négatif de Nègre quand on trouve l’amour rêvé auprès d’une femme noire et d’un homme blanc eux-mêmes albinos à leur façon ?*
Adaptation et mise en scène de Kouam Tawa, avec Wakeu Fogaing
Création au Centre culturel franco-guinéen de Conakry en novembre 2010
Durée :1h10
mardi 19 octobre 2010
COUCOU DE YAOUNDE!
SALUT LES FILLES! DU BEAU BOULOT! J'AIMERAIS AUSSI AVOIR UN CARNET. QUELLE EST LA RECETTE?
jeudi 30 septembre 2010
vendredi 17 septembre 2010
on en parle
interview de Boto Botomogne - Le cru 2010 a été bon
Le président de l'association «Le jeune auteur» fait le bilan de la résidence d'écriture Camaroes 2010.
Parfait Tabapsi, 10 Août 2010,
http://fr.allafrica.com/stories/201008100711.html
Que faut-il garder en mémoire de cette résidence de cinq semaines à Kribi ?
Beaucoup de bonnes choses. Mais le plus important sans doute est cette animation en direction des enfants pendant cette période, à la demande de la mairie de la commune d'arrondissement de Kribi 1er. Nous avons ainsi animé les vacances des enfants de cette circonscription communale sur le plan du dessin, du jeu et de l'écriture théâtraux. Les plus grands (12-18 ans) ont planché sur le texte qui devait ensuite servir à une création scénique encadrée par les participants à la résidence. Cela a duré le temps de la résidence et connu un succès si je m'en tiens à l'avis des populations et des autorités administratives et municipales. Du coup, cela a complété utilement le travail artistique, un peu comme aux résidences des Récréâtrales de Ouagadougou où cet aspect est indépassable. Donc ce côté court m'a plu car c'était une contribution importante à l'endroit d'une ville qui nous a été d'un secours incommensurable. Une commune qui, par la grâce de son maire, a mis à notre disposition pendant plus d'un mois l'hébergement conséquent, nous permettant ainsi de travailler en toute sérénité. Tout en lui disant merci, je pense qu'en tant qu'organisateur, je lui serai toujours reconnaissant pour son geste.
Que retenir de la résidence en elle-même ?
Avant toute chose permettez que je précise que cette résidence a connu la participation de deux Françaises (Stéphanie Lefort et Judith Lesur) et trois Camerounais (Chantal Bonono, Wakeu Fogaing et moi-même). Le thème portait sur la désobéissance et devait inspirer et nourrir la créativité des dramaturges dans l'écriture de textes pour le théâtre des marionnettes. Tout s'est bien passé pour cette quatrième édition Le Camaroes 2010. Cela dans la mesure où de très beaux textes en sont sortis et seront publiés dans un recueil comme de coutume. L'association Le jeune auteur que je dirige a aussi pris l'engagement de favoriser la mise en scène de ces textes ainsi que la diffusion des spectacles qui en découleront. Par ailleurs, un film documentaire sur la résidence est en préparation et sera bientôt disponible.
Peut-on savoir comment s'est opéré le choix des candidats ?
Nous avons, avec notre partenaire Le théâtre le guignol de Lyon en France, lancé un appel à candidatures comme pour les précédentes éditions en juillet 2009. Appel qui nous a permis après réception des 30 candidatures venues d'Afrique et d'Europe de retenir cinq auteurs africains qui n'ont malheureusement pas pu faire le déplacement du fait de nos difficultés financières. Nous nous sommes donc retrouvés à Kribi du 1er juillet au cinq août dernier avec seulement les cinq autres candidats. Le prochain appel à candidatures sera lancé en septembre pour l'édition Le Camaroes 2011. Le maire de Kribi 1er a insisté pour nous recevoir à nouveau l'année prochaine, à condition que la durée de la résidence soit prolongée d'un mois supplémentaire. Histoire de prolonger le plaisir des gamins à travers une animation qui lui est restée en mémoire et qu'il souhaite revoir et grandie sous forme de colonie de vacances. Nous en profiterons certainement pour programmer au cours de cette période là un atelier de formation des administrateurs culturels qui manquent cruellement chez nous.
Le président de l'association «Le jeune auteur» fait le bilan de la résidence d'écriture Camaroes 2010.
Parfait Tabapsi, 10 Août 2010,
http://fr.allafrica.com/stories/201008100711.html
Que faut-il garder en mémoire de cette résidence de cinq semaines à Kribi ?
Beaucoup de bonnes choses. Mais le plus important sans doute est cette animation en direction des enfants pendant cette période, à la demande de la mairie de la commune d'arrondissement de Kribi 1er. Nous avons ainsi animé les vacances des enfants de cette circonscription communale sur le plan du dessin, du jeu et de l'écriture théâtraux. Les plus grands (12-18 ans) ont planché sur le texte qui devait ensuite servir à une création scénique encadrée par les participants à la résidence. Cela a duré le temps de la résidence et connu un succès si je m'en tiens à l'avis des populations et des autorités administratives et municipales. Du coup, cela a complété utilement le travail artistique, un peu comme aux résidences des Récréâtrales de Ouagadougou où cet aspect est indépassable. Donc ce côté court m'a plu car c'était une contribution importante à l'endroit d'une ville qui nous a été d'un secours incommensurable. Une commune qui, par la grâce de son maire, a mis à notre disposition pendant plus d'un mois l'hébergement conséquent, nous permettant ainsi de travailler en toute sérénité. Tout en lui disant merci, je pense qu'en tant qu'organisateur, je lui serai toujours reconnaissant pour son geste.
Que retenir de la résidence en elle-même ?
Avant toute chose permettez que je précise que cette résidence a connu la participation de deux Françaises (Stéphanie Lefort et Judith Lesur) et trois Camerounais (Chantal Bonono, Wakeu Fogaing et moi-même). Le thème portait sur la désobéissance et devait inspirer et nourrir la créativité des dramaturges dans l'écriture de textes pour le théâtre des marionnettes. Tout s'est bien passé pour cette quatrième édition Le Camaroes 2010. Cela dans la mesure où de très beaux textes en sont sortis et seront publiés dans un recueil comme de coutume. L'association Le jeune auteur que je dirige a aussi pris l'engagement de favoriser la mise en scène de ces textes ainsi que la diffusion des spectacles qui en découleront. Par ailleurs, un film documentaire sur la résidence est en préparation et sera bientôt disponible.
Peut-on savoir comment s'est opéré le choix des candidats ?
Nous avons, avec notre partenaire Le théâtre le guignol de Lyon en France, lancé un appel à candidatures comme pour les précédentes éditions en juillet 2009. Appel qui nous a permis après réception des 30 candidatures venues d'Afrique et d'Europe de retenir cinq auteurs africains qui n'ont malheureusement pas pu faire le déplacement du fait de nos difficultés financières. Nous nous sommes donc retrouvés à Kribi du 1er juillet au cinq août dernier avec seulement les cinq autres candidats. Le prochain appel à candidatures sera lancé en septembre pour l'édition Le Camaroes 2011. Le maire de Kribi 1er a insisté pour nous recevoir à nouveau l'année prochaine, à condition que la durée de la résidence soit prolongée d'un mois supplémentaire. Histoire de prolonger le plaisir des gamins à travers une animation qui lui est restée en mémoire et qu'il souhaite revoir et grandie sous forme de colonie de vacances. Nous en profiterons certainement pour programmer au cours de cette période là un atelier de formation des administrateurs culturels qui manquent cruellement chez nous.
mercredi 15 septembre 2010
Spectacle au CENTRE CULTUREL FRANÇAIS DE DOUALA
WAKEU FOGAING ET LE CINQUANTENAIRE
Au Centre culturel Français De Douala
le 21 octobre à 20 heures.
Un nouveau spectacle et un thème de circonstance :
le Cinquantenaire de l’indépendance du Cameroun, que Wakeu Fogain honore avec une jubilation particulière.
Wakeu Fogaing est né un 20 mai et ce n’est pas sans conséquence sur son éducation, sur son enfance et sur sa carrière. C’est autour de la célébration du Cinquantenaire de l’indépendance du Cameroun qu’il tourne en dérision son enfance et son rapport avec son père.
Celui-ci était en effet persuadé que la date de naissance de son fils conférait automatiquement à ce dernier une responsabilité particulière...
Wakeu Fogaing délaisse, le temps d’un spectacle, le destin de Monsieur Nimportequi qu’il conte depuis une décennie, et jette un regard dans le rétroviseur de sa vie jusqu’à ce Cinquantenaire.
Il se saisit des mots, du langage et, via une alchimie particulière, les transforme pour décrire ce qu’il considère comme « le sort de son quotidien ».
Il se saisit des mots, du langage et, via une alchimie particulière, les transforme pour décrire ce qu’il considère comme « le sort de son quotidien ».
La première partie de ce spectacle sera assurée par deux jeunes talents parrainés par Wakeu Fogaing.
Wakeu Fogaing est auteur, comédien, metteur en scène et dirige la Compagnie de théâtre Feugham, (Bafoussam) depuis 1993 avec l’auteur dramatique Kouam Tawa.
Jeudi 21 Octobre 2010 à 20hTarifs : 2500 Fcfa / 1500 Fcfa Adhérents
mardi 31 août 2010
alphabête
Kayabochan, la caboche pleine de chants, kayakant sur les copies
Wakeu, dédaignant les faux gains pour les vraies trouvailles
Boto, boutant les facilités sous son front buté
Stéphanie, flânant sans faner
Judith, disant son jusjeudi 26 août 2010
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